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    Article Canadien sur les TCP (Thérapie Complémentaire et Parallèle)

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    Article Canadien sur les TCP (Thérapie Complémentaire et Parallèle) Empty Article Canadien sur les TCP (Thérapie Complémentaire et Parallèle)

    Message par Dr_Banner Mer 31 Juil - 11:43

    Bonjour alien

    Voici l'article du site Canadien "About Kids Health" sur les TCP (Thérapie Complémentaire et Parallèle)

    http://www.aboutkidshealth.ca/Fr/ResourceCentres/Epilepsy/TreatmentofEpilepsy/Pages/Complementary-and-Alternative-Therapies-for-Epilepsy.aspx



    En quoi consistent les thérapies complémentaires et parallèles ?
    Le terme « médecine conventionnelle » réfère aux méthodes et aux traitements le plus souvent utilisés par les professionnels de la santé occidentaux aujourd’hui pour diagnostiquer et traiter des problèmes de santé. Ces méthodes et traitements reposent sur des recherches scientifiques. Leur efficacité est prouvée, et leurs effets secondaires, bien connus.
    Le terme « thérapie complémentaire et parallèle » (TCP) réfère à l’utilisation de traitements qui ne sont pas encore approuvés par la médecine occidentale conventionnelle ou éprouvés par des techniques de recherche scientifique. Ils peuvent englober des traitements ou interventions physiques, des thérapies à l’aide d’herbes médicinales, des vitamines et d’autres substances, et même des systèmes complets de théories et de pratiques médicales, comme la médecine traditionnelle chinoise et l’Ayurveda.
    Strictement parlant, la « médecine parallèle » réfère uniquement aux traitements non conventionnels, tandis que la « médecine complémentaire » désigne les traitements non conventionnels utilisés conjointement avec des traitements conventionnels. Cependant, ces deux termes sont souvent utilisés sans distinction. Les termes « médecine holistique et intégrative » décrivent aussi les soins axés sur le patient qui combinent les traitements conventionnels et complémentaires.
    La TCP, dans le cas de l’épilepsie, peut servir à réduire les crises, à atténuer les symptômes connexes et à réduire les effets secondaires. Certaines thérapies complémentaires et parallèles reposent sur le principe que la relaxation peut réduire les crises. D’autres reposent sur l’idée que la personne épileptique possède moins de vitamines ou de minéraux dans le corps que la normale. D’autres mettent par ailleurs l’accent sur l’évitement de certains types d’aliments.
    Actuellement, les données scientifiques sur les TCP sont partagées. On a réalisé des études sur divers traitements au cours des ans; certains résultats en appuient l’utilisation, d’autres indiquent des réactions indésirables, et d’autres ne montrent aucun effet. La plupart des études ont été réalisées sur des adultes; nous avons donc des renseignements limités sur l’utilisation des TCP sur les enfants épileptiques.
    Si un traitement a été suffisamment étudié pour qu’on confirme son efficacité et son innocuité, on le classe parmi les thérapies conventionnelles. Par exemple, le régime cétogénique faisait partie au début des thérapies parallèles, mais après que de nombreuses études de recherche ont montré son efficacité, il est devenu un traitement conventionnel pour l’épilepsie. Grâce à ces mêmes recherches, nous savons également quels effets secondaires et problèmes sont associés à ce traitement, et comment le mettre en œuvre.

    En tant que parent, quelles sont vos responsabilités liées aux TCP ?
    Dans des cas d’épilepsie, on pourrait envisager les TCP pour diverses raisons :

    - Les médicaments conventionnels, comme les antiépileptiques, pourraient ne pas être efficaces pour contrôler les crises de l’enfant, ou, s’ils sont efficaces, les effets secondaires peuvent ne pas être tolérables.
    - Les parents pourraient vouloir compléter le traitement conventionnel et améliorer le bien-être global de l’enfant.
    - L’opération pourrait être trop risquée, non envisageable ou avoir déjà échoué.
    - Les croyances culturelles peuvent rendre les TCP acceptables.
    - Les parents peuvent avoir entendu que les TCP ont aidé un enfant atteint d’une affliction semblable.

    Si vous êtes un parent qui envisage des TCP pour votre enfant atteint d’épilepsie, il est important que vous vous renseigniez entièrement sur les avantages et les inconvénients et discutez des options en profondeur avec le médecin de votre enfant avant de faire quoi ce que soit.
    Les praticiens des TCP sont moins souvent encadrés par un organisme de réglementation que les médecins de la médecine conventionnelle. Assurez-vous que le praticien que vous consultez est qualifié, a bonne réputation et a de l’expérience du traitement de cas semblables. Posez au praticien les mêmes questions que vous poseriez au médecin régulier avant d’entreprendre une thérapie, pour vous assurer de comprendre :
    - le traitement
    - comment il fonctionne
    - ses effets secondaires possibles
    - quoi faire en cas de crise
    - comment commencer le traitement
    - comment l’administrer
    - le moment et la fréquence
    - la posologie

    Les TCP ne doivent être utilisés qu’avec grand soin et sous la supervision d’un professionnel. Des praticiens de TCP agréés et titulaires de permis existent, et vous devriez à la fois consulter ce praticien et votre médecin avant de commencer un traitement. Comme c’est le cas de la médecine traditionnelle occidentale, les thérapies complémentaires ou parallèles peuvent être puissantes, interagir les unes avec les autres et avec les antiépileptiques conventionnels, et peuvent avoir des effets secondaires. Comme les antiépileptiques, les prescriptions de TCP doivent être personnelles. En effet, ce qui fonctionne pour un type de crise peut ne pas fonctionner pour un autre cas semblable.
    Certaines « thérapies » parallèles peuvent être très nocives. Un traitement courant dans les années 1960 et 1970 mettait en cause un traitement par « aversion », une technique qui repose sur la croyance que les crises sont un comportement acquis qui peut être modifié au moyen d’un stimulus désagréable (comme un choc sur la peau) au début d’une crise. Effectivement, cette technique punissait les enfants pour avoir fait quelque chose dont ils n’avaient aucun contrôle, leurs crises. Gardez toujours le bien-être de votre enfant à l’esprit quand vous envisagez un traitement.
    Les TCP devraient être utilisées en parallèle avec d’autres médecines conventionnelles, et non les remplacer. N’arrêtez pas soudainement les médicaments antiépileptiques s d’un enfant, car cela peut entraîner des crises de sevrage très graves. Décidez d’un calendrier pour les TCP avec votre praticien et avec le consentement éclairé de votre médecin.
    Étant donné que les TCP doivent être utilisées en parallèle avec les antiépileptiques, il est nécessaire d’envisager une interaction. Demandez au praticien et au médecin de vous renseigner à ce sujet.
    Les TCP pour l’épilepsie peuvent se classer dans la catégorie des vitamines et suppléments, des herbes médicinales, de l’homéopathie, de régimes, de techniques de fusion entre le corps et l’esprit et des traitements physiques.

    Vitamines et autres suppléments
    Certains enfants ont des crises à cause d’un manque de vitamines causé par un trouble métabolique héréditaire. Le fait de donner des suppléments de vitamines pour remplacer celle qui manque met fin aux crises et normalise l’EEG de l’enfant. Au nombre des maladies de cette catégorie figurent les crises dépendantes à la pyridoxine, les carences en biotinidase et les crises de réaction à l’acide folinique. Dans cette situation, des suppléments vitaminiques quotidiens sont des traitements conventionnels approuvés.
    Dans d’autres cas, certains antiéliptiques peuvent réduire les niveaux de certaines vitamines du corps. Par exemple, le valproate peut réduire l’apport de l’organisme en carnitine; votre médecin pourrait donc recommander des suppléments de carnitine si votre enfant prend du valproate.
    On croit que certains suppléments et vitamines réduisent les crises. Les données à l’appui de ces suppléments ne sont pas encore solides. On en mentionne quelques-un ci-dessous.

    Mélatonine
    La mélatonine est une hormone naturelle qui réglemente l’horloge biologique et le sommeil. Elle est produite par la glande pinéale, située dans le cerveau. Une théorie veut que la mélatonine aide les gens atteints d’épilepsie en permettant un meilleur sommeil, ce qui réduit le risque de crises amenées par la fatigue.
    Une étude chez les enfants atteints d’épilepsie a révélé que la mélatonine, prise avec un antiépileptiques, le valproate, est efficace. Une autre étude, cependant, a montré que la mélatonine augmente le taux de crises. Elle fait encore l’objet d’études.
    L’effet secondaire principal de la mélatonine est qu’elle peut toucher la production et l’utilisation d’autres hormones dans le corps, comme l’hormone de croissance. On peut aussi citer la fatigue, les étourdissements, la dépression, la confusion, l’irritabilité, les maux de tête, la faible tension artérielle, les nausées, les crampes d’estomac et les vomissements.

    Acides gras Oméga 3
    Les acides gras oméga 3 ont été étudiés chez les patients épileptiques, mais les résultats n’ont pas été concluants. Une étude a révélé que les acides gras polyinsaturés n’ont aucun effet sur les crises; une autre, que les acides gras oméga 3 réduisent la fréquence des crises, mais que l’effet se dissipe.

    Vitamine E
    On croit que la vitamine E a un effet sur les systèmes de neurotransmetteurs dans le cerveau. Certaines études ont montré que la vitamine E aide à réduire les crises, tandis que d’autres ne montrent aucun effet. D’autres études sont nécessaires.

    Traitements médicinaux
    Les traitements aux herbes médicinales font partie de nombreux systèmes médicaux non occidentaux, y compris la médecine chinoise traditionnelle et l’Ayurveda. Divers traitements médicinaux sont parfois suggérés pour réduire la fréquence et la gravité des crises. Jusqu’à maintenant, peu d’études de grande qualité sur les herbes médicinales ou leurs composantes pour le contrôle des crises chez les humains, bien qu’il y ait eu des recherches prometteuses chez les animaux. La recherche à cet égard se poursuit.
    Les remèdes médicinaux sont souvent perçus plus sécuritaires que les médicaments conventionnels, parce qu’ils sont faits de plantes et sont donc naturels. Cependant, contraitement aux médicaments de prescription et à d’autres médicaments en vente libre, les remèdes médicinaux contiennent des ingrédients pharmacologiques actifs qui peuvent avoir des effets secondaires ou des interactions avec d’autres médicaments. Certains peuvent déclencher ou empirer des crises. De plus, certains remèdes médicinaux peuvent avoir été contaminés par d’autres médicaments ou même des métaux lourds, et la dose peut varier d’un lot à l’autre. Utilisez les traitements herbaux avec prudence et après avoir consulté le médecin de votre enfant et votre pharmacien.

    Homéopathie
    L’homéopathie repose sur l’administration de substances actives en très petites doses, diluées plusieurs fois. Les remèdes homéopathiques sont très courus, mais peu de preuves scientifiques étayent leur utilisation chez les personnes atteintes d’épilepsie.

    Thérapies par l’alimentation
    Le régime cétogénique existe depuis de nombreuses années, est bien établi et est maintenant considéré en tant que traitement conventionnel pour l’épilepsie. Récemment, d’autres thérapies par l’alimentation ont été étudiées, y compris une version modifiée du régime Atkins et un régime à faible indice glycémique. Étant donné que ces régimes permettent un éventail plus varié d’aliments, ils pourraient être plus faciles à suivre. Les thérapies par l’alimentation sont souvent recommandées pour les enfants qui ne sont pas des candidats pour l’opération et qui ont tenté ou un plusieurs médicaments antiépileptiques sans succès. Ils ne fonctionnent pas pour tous les enfants, mais peuvent être très efficaces.

    Pour en savoir davantage, veuillez consulter la section « Thérapie alimentaires pour l’épilepsie »
    http://www.aboutkidshealth.ca/Fr/ResourceCentres/Epilepsy/TreatmentofEpilepsy/DietaryTherapies/Pages/default.aspx

    À l’occasion, les crises peuvent être déclenchées par des allergies alimentaires. Si vous remarquez qu’un aliment en particulier semble déclencher les crises, n’hésitez pas à éviter cet aliment. Certains médecins pourraient travailler avec votre enfant pour retirer lentement l’aliment et le remettre par la suite pour déterminer l’effet de certains aliments sur les crises. Les résultats sont habituellement très personnels.

    Techniques de fusion corps-esprit et psychothérapie
    Les techniques de fusion corps esprit sont souvent difficiles à évaluer dans des essais contrôlés randomisés à double insu de grande qualité; les données sur leur utilisation sont donc souvent peu probantes. Cependant, les essais qui ne sont pas à l’insu ou les essais qui comparent les techniques au « charlatanisme » montrent parfois des bienfaits.

    Biorétroaction et neurorétroaction
    La biorétroaction est un traitement technique dans lequel des personnes formées à cet effet améliorent leur santé au moyen d’information sur la santé et de signaux de leur propre corps. Cette technique sert pour diverses maladies et est utilisée par différents types de spécialistes pour aider aux patients à relaxer, à réduire leur douleur et à retrouver un fonctionnement normal.
    Pour l’épilepsie, une forme de biorétroaction appelée neurorétroaction peut servir à enseigner aux patients à contrôler consciemment leur activité cérébrale et donc éviter les crises. Cette technique peut nécessiter de nombreuses séances, et il est peu probable qu’elle puisse contrôler entièrement les crises.
    Quelques études ont analysé l’utilisation de biorétroaction pour traiter l’épilepsie; elles ont permis d’obtenir une réduction des crises chez certaines personnes. Cependant, la plupart des études étaient petites et donnaient des renseignements limités.

    Méditation
    Il y a de nombreuses formes différentes de méditation, mais en général, c’est un moyen de concentrer l’esprit en ce moment présent. On étudie l’utilité de la méditation pour traiter de nombreux troubles différents, comme la douleur chronique et le trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention.
    Une petite étude menée avec des adultes atteints d’épilepsie qui ont pratiqué la méditation pendant 20 minutes par jour pendant un an a révélé que les crises étaient moins fréquentes et plus courtes, ainsi qu’un changement dans les tracés d’EEG. Les patients du groupe témoin n’affichaient pas de changements importants.

    Techniques de relaxation
    Quelques études à petite échelle ont examiné des techniques de relaxation pour l’épilepsie. Une étude a enseigné aux enfants à reconnaître les signes d’une crise imminente et ensuite à utiliser des techniques de relaxation. En comparaison au groupe témoin, les enfants du groupe de l’étude ont eu moins de crises après 10 semaines et un an après la fin du traitement. L’étude est petite, et il est difficile d’en tirer des conclusions. Cependnat, d’autres petites études menées auprès d’adultes ont aussi montré des effets positifs. Fait intéressant, une étude du genre a comparé un groupe qui se servait de techniques de relaxation avec un groupe qui a reçu une thérapie où les membres discutaient des attitudes des gens par rapport à l’épilepsie, ce que l’épilepsie signifiait pour eux, leur expérience des crises, etc. En comparaison à un groupe témoin, le groupe de la relaxation avaient moins de crises, tandis que le groupe qui a pris part à des discussions avait plus de crises.

    Yoga
    Le yoga est l’ancien système hindou de méditation et consiste en des exercices à faible impact qui encouragent le contrôle du corps et de l’esprit.
    Le yoga a été envisagé comme moyen de réduire les crises en raison de sa capacité de réduire le stress et de favoriser la relaxation. Quelques études ont montré que le yoga réduit la fréquence des crises et change le tracé d’EEG des patients, en comparaison à des groupes témoin; cependant, les études étaient petites et donnent des renseignements limités. On étudie encore le yoga.

    Acupuncture
    L’acupuncture fait partie de la médecine traditionnelle chinoise. On insère des aiguilles à des endroits précis dans le corps. Quelques essais randomisés contrôlés de qualité ont été faits chez des gens atteints d’épilepsie, qui n’ont pas constaté d’effets antiépileptiques pour le traitement. Étant donné que de nombreux enfants ont peur des aiguilles, l’acupuncture n’est probablement pas une bonne option pour eux.

    Article par Elizabeth J. Donner, MD, FRCPC

    Bye

      La date/heure actuelle est Ven 26 Avr - 11:24